Vendredi dernier, j’étais à Anglet, au Salon de la mobilité électrique du Bab. Organisé par le Rotary Club Biarritz-Anglet-Bayonne-Côte basque, cet événement a permis au public de découvrir en réel, les voitures et tous les objets de mobilité électrique, et de questionner les professionnels présents sur les stands. Des mini-conférences ont jalonné ces deux journées très enrichissantes.
A l’heure où le secteur des transports est responsable de 38% des émissions de CO2, il est essentiel de s’engager pour une mobilité plus propre. L’urgence climatique appelle à changer nos comportements et à nous déplacer différemment.
Pour réduire l’impact des transports sur l’environnement et opérer une transition vers une mobilité plus durable, plus sobre et plus propre, le Gouvernement s’est notamment massivement engagé dans le développement de la mobilité électrique.
À ce titre, l’État se dote de nombreux outils, parmi lesquels la loi d’orientation des mobilités, qui s’inscrit dans l’agenda ambitieux de l’Accord de Paris et du Plan climat. Elle fixe comme objectif la fin de la vente de voitures particulières et de véhicules utilitaires légers neufs utilisant des énergies fossiles d’ici à 2040.
Des outils concrets, tels que l’obligation de verdissement des flottes de véhicule, le développement des infrastructures de recharge ou encore les dispositifs financiers et la fiscalité environnementale relative aux véhicules, viennent accompagner l’engagement de l’État en faveur de l’automobile propre.
