Le Contrat d’Engagement Jeune, lancé le 1er mars 2022 est un accompagnement individuel qui poursuit l’objectif d’une entrée rapide et durable dans l’emploi des jeunes de 16 à 25 ans qui ne sont pas étudiants, ne suivent pas une formation et présentent des difficultés d’accès à l’emploi.
Il prend place parmi tous les dispositifs de soutien mis en place par la majorité depuis 2017 pour que notre pays retrouve le chemin du plein-emploi, avec des résultats déjà très encourageants.
Nous savons que l’accompagnement est crucial dans ce domaine et que la complexité du marché du travail désoriente les jeunes. Il était donc nécessaire de déployer un initiative concrète à leur endroit.
Le résultat est là : nous avons dépassé la barre des 500 000 jeunes en accompagnement.
Financé par l’Etat et mis en œuvre par les conseillers des Missions locales et de pôle emploi, il s’agit de proposer aux jeunes un dispositif de qualité pour disposer d’un accompangement jusqu’à l’obtention d’un véritable emploi.
Son évaluation a déjà commencé : 68% des jeunes entrée en accompagnement CEJ ont moins de 21 ans et pour 89% ont un niveau bac ou inférieur au bac et 45% ne sont pas du tout diplômés. C’est donc bien un dispositif dédié à ceux qui sont le plus éloignés de l’emploi.
Plus de 18% de ces jeunes sont issus des quartiers prioritaires de la politique de la Ville et 13% sont issus de zones de revitalisation rurale.
Le récent projet de loi visant le plein-emploi, voté en septembre à l’Assemblée nationale vise à amplifier ce mouvement de soutien et de formation.
Notre pays s’est trop habitué depuis des décennies à avoir un chômage structurel. C’est un combat de chaque instant qui donne de vrais résultats depuis 2017. Poursuivons !