Le Premier ministre Jean Castex est intervenu dans le cadre des Assises des petites villes de France ainsi qu’en clôture des journées nationales de France urbaine.
Au cours de ces interventions, il a pu rappeler l’engagement du Président de la République et du Gouvernement, dès la première seconde du quinquennat, pour rapprocher les territoires et faire en sorte que nos actions bénéficient à chacun. Au sortir de la crise sanitaire, l’enjeu est également de faire en sorte que la relance bénéficie à tous Français qu’ils habitent dans une petite commune de la ruralité ou dans une grande métropole.
Ainsi, aux Assises des petites villes de France, le Premier ministre a rappelé les excellents premiers résultats du programme « Petites villes de demain » qui va permettre, d’ici 2026, à 1600 communes de bénéficier de 3 milliards d’euros d’investissement.
Dès aujourd’hui, plus de 1200 communes sont labellisées et peuvent bénéficier d’un accompagnement et d’aides de l’Etat pour revitaliser les communes, notamment faire revenir les commerces en centre-ville et prendre en compte la transition écologique dans tous les territoires.
Bien d’autres dispositifs sont mis en place, pour aider et accompagner les petites villes, comme le fonds friche, le déploiement du très haut-débit partout sur le territoire ou encore le déploiement des maisons France Service qui rendent les services publics accessibles à tous les Français.
Aux journées de France urbaine, la Premier ministre a rappelé les investissements massifs de France relance pour les territoires, notamment dans le cadre des Contrats de relance et de transition écologique (CRTE) signés avec chaque territoire autour de projets concrets et d’engagements réciproques.
Parmi les enjeux clés des communes pour accompagner la transition écologique se trouve la question des mobilités et du développement des transports en commun. A l’écoute des territoires, le Premier ministre a ainsi décidé d’augmenter de 500 millions à 900 millions, l’enveloppe d’un appel à projet en faveur des transports en commun en région. Il s’agit d’une hausse exceptionnelle de 400 millions d’euros au service des transports en commun partout sur le territoire.